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maquette voiture FERRARI 250 GTO REVELL 07077 1/24ème maquette char promo
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250 GTO
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maquette voiture FERRARI 250 GTO REVELL 07077 1/24ème
Ferrari 250 GTO | ||||||||
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||||||||
Marque | Ferrari | |||||||
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Années de production | 1962 - 1964 | |||||||
Production | 36 exemplaires | |||||||
Classe | sportive de prestige | |||||||
Moteur et transmission | ||||||||
Moteur(s) | Essence V12 3.0L | |||||||
Puissance maximale | 303 ch (213 kW) | |||||||
Transmission | Propulsion | |||||||
Poids et performances | ||||||||
Poids à vide | 880 kg | |||||||
Châssis - Carrosserie | ||||||||
Carrosserie(s) | Coupé | |||||||
Suspensions | Avant : double triangle superposé arrière : bras de guidage ressorts semi elliptique |
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Dimensions | ||||||||
Longueur | 4 400 mm | |||||||
Largeur | 1 675 mm | |||||||
Hauteur | 1 245 mm | |||||||
Chronologie des modèles | ||||||||
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La Ferrari 250 GTO est une voiture de course grand tourisme construite par Ferrari au début des années 1960. Elle est largement considérée comme la quintessence des modèles Ferrari, et l'une des voitures de sport les plus célèbres de tous les temps. Au-delà de son fantastique palmarès sportif, la GTO est entrée dans la légende avant tout pour sa suspension sophistiquée et son esthétique1.
Le nombre « 250 » correspond au volume en centimètres cubes de chaque cylindre du moteur tandis que « GTO » signifie « Gran Turismo Omologato »2 en italien soit « homologuée pour courir en grand tourisme ». Au total, 36 modèles seront produits : trente-trois en 1962 et 1963, plus trois autres en 1964.
En 2004, Sports Car International a placé la 250 GTO à la huitième place dans la liste des meilleures voitures de sport des années 1960. Motor Trend Classic a, quant à lui, nommé la 250 GTO à la première place de la liste des « meilleures Ferrari de tous les temps. »
La 250 GTO a été conçue pour participer à des courses de Grand Tourisme. Il s'agissait d'une évolution orthodoxe (certains diront conservatrice) de la 250 GT SWB2. L'ingénieur en chef Giotto Bizzarrini a pris le châssis de la 250 GT SWB et l'a associé au moteur V12 3,0 L de la 250 Testa Rossa. Après que Bizzarrini et la plupart des ingénieurs de Ferrari aient été licenciés à la suite d'une dispute avec Enzo Ferrari, la mise au point a été confiée au nouvel ingénieur Mauro Forghieri et au designer Sergio Scaglietti. L'admirable carrosserie a été dessinée à partir du travail de Bizzarrini et Scaglietti puis affinée après des essais en soufflerie et sur circuit. Contrairement à la plupart des Ferrari, elle ne fut pas conçue par un seul individu ou par une entreprise de design.
Le reste de la voiture était une synthèse de la technologie Ferrari du début des années 1960 : un châssis soudé à la main, une suspension avant à bras et un pont-moteur à l'arrière, des freins à disques, des jantes Borrani à rayons. Si la boîte de vitesses à cinq rapports marquait un progrès, elle n'était néanmoins pas vraiment révolutionnaire. La grille en métal de changement de rapport, avec la première décalée en bas à gauche, deviendra la norme sur les Ferrari suivantes. Seule l'arrivée des boîtes à six rapports, qui conserveront la fameuse grille métallique, modifiera la disposition des rapports, avec la première en haut à gauche. L'intérieur était dépouillé et simplifié à l'extrême, à tel point que le tachymètre ne fut pas considéré comme nécessaire pour le tableau de bord.
Ferrari 250 GTO au musée Ferrari de Maranello
Selon les règles de la FIA, pour les courses de voitures sportives, au moins une centaine d'exemplaires devaient être construits pour qu'un modèle soit homologué dans la catégorie GT (contrairement à la catégorie des prototypes)1. Ferrari avait construit seulement trente-neuf 250 GTO (trente-trois « normales », trois avec une moteur de quatre litres, quelquefois appelées « 330 GTO » mais plus correctement 330 LMB, et trois « Type 64 » avec une carrosserie modifiée), pourtant la voiture fut autorisée à participer à des courses en catégorie GT. Enzo Ferrari a argumenté en affirmant que le modèle n'était techniquement qu'une modification de la 250 GT SWB, la colère de Ferrari était telle qu'il valait mieux pour le sport de laisser participer l'équipe plutôt que discuter avec l'irritable et absente (à la grande déception des fans) Scuderia Ferrari.
La voiture a débuté aux 12 Heures de Sebring en 1962, pilotée par l'équipe de l'Américain Phil Hill (champion du monde de F1 en 1961) et le Belge Olivier Gendebien. Bien que gêné au départ de conduire une voiture de catégorie GT au lieu d'une des Testa Rossa complètement conçues pour la course et classées dans la catégorie des prototypes, le duo expérimenté s'est impressionné lui-même (et tous les autres également) en finissant second devant la Testa Rossa de Joakim Bonnier et Scarfotti.
Ce succès n'était pas dû à un coup de chance ; la 250 GTO était une voiture de course très performante. À l'époque de son introduction il s'agissait, selon l'étagement de la boîte de vitesses et le rapport de démultiplication final, de la voiture la plus rapide en ligne droite sur n'importe quel circuit. De plus, ses performances étaient alliées à un comportement routier sain et plus globalement à une voiture sans défaut majeur. Dans la pure tradition Ferrari, cela permettait aux conducteurs normaux d'être excellents et aux bons conducteurs d'avoir un avantage insurpassable. Les années de développement consacrées aux composants importants et la fiabilité traditionnelle des Ferrari garantissaient en outre que la voiture tenait bon jusqu'à la fin de la course. Finalement, la GTO permit à Ferrari de remporter trois années d'affilée, 1962, 1963 et 1964, le championnat du meilleur constructeur au monde1.
En France, Fernand Tavano a remporté avec ce véhicule les rallyes de Picardie, de l'Ouest et du Limousin notamment, durant les années 1960, et Jean Guichet a été triple Champion de France des rallyes en 1961, 1962 et 1963 (catégorie Grand Tourisme), gagnant notamment le Rallye Pétrole-Provence en 1958 et le Tour de France automobile (GT) en 1963 (triplé de la marque avec Lucien Bianchi le vainqueur — sur GTO — de 1964 et le Suisse Gérard Spinedi — lauréat du Rallye de Genève 1961 — ; Guichet est aussi second en 1964).
La faible production (361 véhicules) a permis à Ferrari d’être très sélective sur les acheteurs potentiels. En étant dans les bonnes grâces d'Enzo Ferrari lui-même, ou de son ambassadeur nord-américain Luigi Chinetti, on pouvait avec 18 000 dollars (dollars du début des années 1960 soit environ 140 000 dollars en 20123) acheter la meilleure GT de course disponible à l’époque.
La 250 GTO est peut-être l'une des dernières voitures de ce niveau à présenter le comportement d’une routière normale. De façon plus visible, c’était une des dernières voitures à moteur avant véritablement compétitive à un tel niveau. À l’époque, avant la popularisation des courses de voitures d'époque, la 250 GTO faisait face au même destin que les autres voitures de course : lorsqu’elles devenaient obsolètes, quelques-unes servaient pour des courses régionales tandis que les autres étaient utilisées comme des voitures à passagers normales, usage glorieux mais néanmoins assez peu pratique.
À la fin des années 1960 et au début des années 1970, l’attrait pour les performances de la 250 GTO et d’autres Ferrari rares a rapidement fait augmenter leur valeur sur le marché. Comme l’industrie automobile devait se conformer à de nouvelles réglementations et se questionnait sur des décisions marketing, les performances inégalées de la 250 GTO lui conférèrent un nouveau pouvoir d'attraction. Il y avait également un changement dans la façon de considérer cette voiture : au lieu de la considérer comme une ancienne mais attachante voiture de course, des collectionneurs de renom (dont Ralph Lauren) ont commencé à voir dans la 250 GTO une sorte de voiture de grand art.
La mentalité d’investissement a atteint un sommet incroyable à la fin des années 1980. La valeur marchande de voitures de luxe, particulièrement des Ferrari, s'est envolée, la 250 GTO étant l’exemple le plus représentatif de la marque, le prix de ces voitures a atteint des sommets. Ce phénomène de hausse des prix fut particulièrement marqué en 1988, lors du décès d'Enzo Ferrari, fondateur de la marque au cheval cabré. Une de ces 250 GTO, a été vendue aux enchères en 1989 environ 9 millions de dollars, soit environ 57 millions de francs, ce qui était exorbitant à l’époque. Si en 2008, la cote se situait entre 15 et 20 millions de dollars selon le palmarès et l'historique de l'exemplaire, elle atteignait, en 2013, la somme astronomique de 52 millions de dollars (38 millions d'euros), ce qui fit de la 250 GTO la voiture la plus chère du monde4. En 2014, la 250 GTO de 1962 ayant appartenu au pilote français Jo Schlesser a été vendue 38 millions de dollars aux enchères5.
Le fort attrait et la rareté de la voiture ont entraîné un nombre important de fausses 250 GTO basées sur des châssis Ferrari plus communes ou sur des Datsun Z. Il y a actuellement beaucoup plus de répliques que d'originales 250 GTO. À un niveau plus bas, des copies d'actes de ventes de voitures d’origine, réalisés par des gens peu scrupuleux mais aussi des copies des voitures d’origines, ont été rapportés. Bien qu’il ne l’ait pas vendue, un exemple flagrant fut celui du Britannique Charles Brocket, qui a fait passer sa 250 GTO pour une originale alors qu’il s’agissait d’une réplique. Cela ne fut révélé que lors d’une fraude à l’assurance en 1996.
Parmi les possesseurs de Ferrari 250 GTO on peut notamment citer le célèbre batteur Nick Mason, du groupe britannique Pink Floyd, le couturier américain Ralph Lauren5, le PDG de Wal-Mart S Robson Walton, le PDG coréen de Samsung, Lee Kun-hee, l'acteur de cinéma Nicolas Cage. Un collectionneur japonais en posséda quatre exemplaires entre 1996 et 2000.
source: Wikipédia
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